J’ignorais que le bonheur pouvait être aussi violent. Qu’il pouvait cogner aussi fort. Qu’il pouvait faire aussi mal. Je n’étais pas préparée. »
Une césarienne de confort. Voilà ce qu’il me faudra. […] On endormira un peu de mon corps, on ouvrira, on prendra le bébé que j’aurai porté, on refermera puis le temps fera son œuvre. Je ne me rendrai compte de rien. Et mon sexe sera intact. […] Et la question de la pe...
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