Ma mère, mon bourreau
” Julie Gregory a su transcender l’horreur de son enfance pour nous livrer un témoignage, souvent touché par la grâce, qui laisse place à l’espoir. ” Entertainment WeeklyJulie est allongée sur la table d’examen d’un médecin. Elle n’a pas 12 ans, elle est maigre, elle est faible. À côté d’elle, sa mère semble étrangement excitée. Elle est sur le point de suggérer une opération à cœur ouvert pour sa fille… Depuis son plus jeune âge, Julie est une enfant qui passe plus de temps à l’hôpital que sur les bancs de l’école. Pourtant, ce mal étrange dont elle souffre, et que seule sa mère sait décrire, ne trouve pas de remède, en dépit des médicaments ingurgités, des traitements suivis et des innombrables spécialistes consultés… Tout simplement, parce que Julie n’est pas malade… Elle est victime du syndrome de Münchhausen par procuration. Son témoignage est le récit poignant de son enfance volée par une mère souffrant d’un besoin maladif d’attention.
Petite fille perdue dans un monde d’adultes impressionnants Julie apprendra vite qu’ il vaut mieux faire ce qu’on lui dit. Sa mère atteinte du syndrome de Munchausen par procuration , la traîne de docteur en docteur elle a 12 ans est affamée en pleine croissance , grandit tant bien que mal plutôt mal que bien Julie qui est l’auteur de ce livre et elle est devenue psychiatre. Quoi d’étonnant ?? Une mère présente à sa façon, moments de haine, moments de joie, c’est une enfant privée d’enfance, d’école et d’amis. Elle finit par rester seule et essaie de survivre Tout n’est pas noir dans cette autobiographie, on sourit à défaut de rire et surtout arrive à comprendre ce qu a sa mère quelle n’arrive pas a haïr mais ne peut rien faire.