violences physiques sur compagnons et enfants:
Chaque année en France, près de 136.000 hommes sont victimes de violences physiques ou psychologiques de la part de leur conjointe. Le chiffre provient du rapport publié dans le bulletin d’octobre de l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP). Mais seulement 5% d’entre eux osent porter plainte, pour des raisons que l’on imagine. Les mauvais traitements infligés aux enfants sont le fait des mères dans 57 à 61 % des cas selon le Statistical Abstract of the United States. La violence des mères sur les enfants est la 1ère cause de mortalité accidentelle bien avant celles des pères sur les enfants. C’est une notion couramment enseigné dans les facultés de psychologie mais qui n’est pas reconnu au niveau social à part dans quelques affaires judiciaires très médiatisées qui sont les arbres qui cachent la forêt de l’horreur du quotidien
Quand on parle de la violence conjugale, une inégalité apparaît très clairement, le mythe de la faible femme y fait souvent obstacle, à savoir celui des hommes dangereux et des femmes victimes. La violence faite aux femmes doit être combattue mais au titre de la violence. Mais combien d‘hommes subissent les violences de leurs compagnes, et par honte, et culpabilité se taisent. Le tabou est encore fort. Dès leur enfance, les petits garçons sont formatés « tu es un homme et un homme ne pleure pas ». Il serait nié une réalité, où différentes études posent un tableau accablant de cette violence.
La souffrance, la peur, et la douleur sont très présentes, d’autant plus que ces hommes gardent cette expérience secrète. Ce qui serait essentiel c’est que cette souffrance soit entendue, prise au sérieux, que l’aide soit disponible sans aucune distinction de sexe.
Des hommes peuvent se sentir piégés dans leur relation de couple, en cas de séparation, peur de perdre le contact, peur que leur compagne retourne cette violence sur les enfants. Ils ont conscience que très souvent la résidence des enfants est confiée à la mère, et, comment pourraient-ils être crédibles, s’il parlait de ce problème. Si un homme dénonce la violence qu’il subit, il est menacé d’être dénoncé de pédophile. Ainsi, il n’obtiendra pas la garde de son enfant.
De toutes les violences, les violences envers les enfants sont certainement les plus cachées. La loi du silence y règne en maître. Et c’est particulièrement vrai pour les maltraitances, c’est à dire les violences subies par des enfants alors qu’ils sont sous la garde d’une personne de confiance.
http://www.monbebe.com/actualite/_scandale__une_mere_tue_son_bebe_en_le_passant_au_micro_ondes
« Le rapport de Daly & Wilson, en 1988, basé sur les statistiques canadiennes, démontre que 54 % des meurtres des enfants sont perpétrés par les mères. D’autres statistiques anglaises et américaines arrivent aux mêmes conclusions. De plus, les garçons sont tués une fois et demie plus souvent que les filles, soit trois garçons pour deux filles. L’autre personne la plus susceptible de tuer un enfant est le nouvel amant de la mère. C’est avec son père naturel que l’enfant est le plus en sécurité.