La haine des femmes (suite)
Je continue de partager mes découvertes et réflexions.
La notion de « haine des femmes » continue à travailler en moi !
Un rêve récent m’a montré le niveau élevé de violence que j’ai ressenti venant de ma mère.
Je continue de partager mes découvertes et réflexions.
La notion de « haine des femmes » continue à travailler en moi !
Un rêve récent m’a montré le niveau élevé de violence que j’ai ressenti venant de ma mère.
La décision prise le 5 août par le conseil constitutionnel m’a fortement impactée : crise d’angoisse, humeur très instable, bouffées de haine, de colère, de désespoir… Face à l’arbitraire je perds les pédales. Heureusement, vivant seule, je me permets de laisser sortir ces émotions qui ne dérangent que moi !
Cette réaction exacerbée m’amène à penser qu’il y a résonance avec mon enfance dont j’ai très peu de souvenirs, l’un d’eux m’est revenu : je devais avoir 6 à 8 ans, j’avais un œil au beurre noir suite à un gifle que ma mère m’avait donnée alors qu’elle portait sa bague, une personne m’avait demandé ce qui m’était arrivé et j’avais répondu que j’étais tombée…
Cependant je n’ai, à ce jour, aucun souvenir de gifles ou autre coup, de martinet par exemple puisqu’il y en avait un pendu dans l’arrière cuisine.
C’est à l’arbitraire de mon enfance que je reviens, avec la question : Jusqu’où cela est-il allé ? Car il n’y a pas de limite à l’arbitraire, si ce n’est ce qui se verrait à l’extérieur (et qui ferait tache) comme cette trace sur mon œil.
Comment ai-je donc été « éduquée » ? Pas de traces physiques, quand aux traces psychologiques, elles sont si faciles à nier ! Et à justifier ! « la liberté ne se conjugue pas au singulier » Quelle honte et quelle insulte à l’humanité. Tout cela me rend malade depuis près de 70 ans.
La vie familiale était un huis-clos, que j’ai reproduit et dont je ne suis pas encore véritablement sortie. J’espère en sortir avant de mourir et libérer mes enfants de cet enfermement.
Une autre question se pose : que faisait mon père ? Je l’ai ressenti comme absent ; migraineux, protégé derrière son journal ou l’écoute des « informations » à la radio, ce qui imposait que l’on se taise, il allait « prendre l’air » le dimanche… A l’extérieur, il était plus avenant.
La lecture d’ Alice Miller (l’enfant sous terreur) m’aide à mettre de l’ordre,
1 « l’enfant est toujours innocent »,
20 autres points suivent, en conclusion de ce livre dans son édition de 1986.
« On » lui vole donc son innocence, et ce dès avant sa naissance par l’intermédiaire des toxiques, physiques et psychiques. Témoigner et prendre conscience sont les seuls remèdes pour enrayer l’épidémie !
Quand au respect de parents qui restent dans le déni, il me semble mal placé, c’est soi-même que chacun doit respecter en premier ; respecter son tortionnaire, c’est l’encourager à continuer et peut-être même à monter en puissance ?
Idem pour les gouvernants…
Cependant je n’ai, à ce jour, aucun souvenir de gifles ou autre coup, de martinet par exemple puisqu’il y en avait un pendu dans l’arrière cuisine.
C’est à l’arbitraire de mon enfance que je reviens, avec la question : Jusqu’où cela est-il allé ? Car il n’y a pas de limite à l’arbitraire, si ce n’est ce qui se verrait à l’extérieur (et qui ferait tache) comme cette trace sur mon œil.
Comment ai-je donc été « éduquée » ? Pas de traces physiques, quand aux traces psychologiques, elles sont si faciles à nier ! Et à justifier ! « la liberté ne se conjugue pas au singulier » Quelle honte et quelle insulte à l’humanité. Tout cela me rend malade depuis près de 70 ans.
La vie familiale était un huis-clos, que j’ai reproduit et dont je ne suis pas encore véritablement sortie. J’espère en sortir avant de mourir et libérer mes enfants de cet enfermement.
Une autre question se pose : que faisait mon père ? Je l’ai ressenti comme absent ; migraineux, protégé derrière son journal ou l’écoute des « informations » à la radio, ce qui imposait que l’on se taise, il allait « prendre l’air » le dimanche… A l’extérieur, il était plus avenant.
La lecture d’ Alice Miller (l’enfant sous terreur) m’aide à mettre de l’ordre,
1 « l’enfant est toujours innocent »,
20 autres points suivent, en conclusion de ce livre dans son édition de 1986.
« On » lui vole donc son innocence, et ce dès avant sa naissance par l’intermédiaire des toxiques, physiques et psychiques. Témoigner et prendre conscience sont les seuls remèdes pour enrayer l’épidémie !
Quand au respect de parents qui restent dans le déni, il me semble mal placé, c’est soi-même que chacun doit respecter en premier ; respecter son tortionnaire, c’est l’encourager à continuer et peut-être même à monter en puissance ?
Idem pour les gouvernants…
ND